« Je suis un hackeur et j'ai piraté vos appareils il y a quelques mois. Je retracé vos visites sur un site que vous avez visité et j'ai réussi à avoir la main sur votre appareil ».
Malheureusement, cette phrase n’est pas issue d’une série d’espionnage mais d’un emailing envoyé à plus de 10.000 personnes sur le seul mois de janvier. Ces messages, constituant des tentatives d’arnaques, avérées ou non, sont permis pour un grand nombre d’entre eux par des techniques d’usurpation d’identité numérique et ont donné lieu à des détournements financiers (19 M€ volés à Pathé en novembre dernier), de marchandises (400 000 € de vins prétendument commandés par LIDL le mois dernier) ou à la diffusion de fausses informations (comptes de Renault prétendument gelés suite l'emprisonnement de son PDG).
Le risque est réel : aujourd’hui, un français sur cinq a plus de chance de subir une usurpation d’identité qu’un cambriolage ou un vol de voiture.
Quelle est cette technique frauduleuse accrue par l’avènement du numérique et quels risques représente-elle pour les entreprises ou pour nous, simples internautes ?
Si des menaces certaines existent, des outils techniques et juridiques peuvent être mis en place pour s’en prémunir et/ou les sanctionner.
Nous vous invitons donc à explorer cette question à travers des exemples d’usurpation d’identité numérique et des solutions pour l’éviter avec notre équipe IP/IT, accompagnée d’un expert de l’identité sur internet, Jean-François Poussard de la société Solidnames.
Pour s'inscrire contacter : evenement@coblence-avocats.com